Deux axes complémentaires sont proposés :
Les médicaments antidouleur. L’objectif est de faciliter et d’augmenter le mouvement. Prendre des médicaments et rester sans bouger est contreproductif. Les antalgiques de première intention sont le paracétamol (Dafalgan®, Panadol® ou autre), puis les antiinflammatoires (Brufen®, Irfen® ou autre), s’il n’y a pas de contre-indications. Ces médicaments doivent être pris uniquement s’ils vous aident à bouger. Dans certains cas bien précis, votre médecin peut vous prescrire un dérivé de la morphine, à prendre sur la durée la plus courte possible pour limiter les effets indésirables et éviter le risque de dépendance.
Les techniques de «physiothérapie passive». Il s’agit de massages (mobilisations, manipulations), électrostimulation transcutanée (TENS) : ces approches ne sont pas recommandées seules, mais elles peuvent être utiles en association avec une activité physique. Si cela vous aide à bouger, vous pouvez également appliquer du chaud (bouillotte) ou du froid, selon votre préférence, sur la partie douloureuse.