Pulsations avril - juin 2023 vient de paraître

Un dossier pour mieux comprendre le mal de dos, des articles sur l’accueil  des enfants en situation de handicap, les solutions pour soigner le prolapsus génital féminin ou encore un article sur le bruxisme, trouble fréquent, mais loin d’être anodin… Ces thématiques, et bien d’autres, sont à découvrir dans l’édition avril-juin du magazine des HUG Pulsations.

Dossier : prendre soin de son dos 

Lumbago, tour de reins, contractures, faux mouvement… Trouble fréquent, le mal de dos concerne quatre personnes sur cinq. Bien qu’il soit responsable du plus grand nombre de handicaps fonctionnels dans le monde, ses facteurs déclencheurs restent méconnus. Les douleurs dorsales sont le plus souvent passagères. Lorsqu’elles s’installent, elles pèsent lourd sur le moral et impactent la qualité de vie. Pour mieux comprendre ces douleurs et apprendre à soigner son mal de dos, des spécialistes des HUG lèvent le voile. 

Mieux accueillir les enfants en situation de handicap 

Si l’hospitalisation d’un enfant est source de stress, elle l’est d’autant plus lorsqu’il ou elle souffre d’un handicap. Pour répondre à la demande de ces jeunes aux besoins particuliers, l’équipe mobile handicap pédiatrique intervient au sein des différents services de l’hôpital des enfants. Cette équipe pluridisciplinaire anticipe leur arrivée et accompagne leur hospitalisation. 

Descente d’organes : des solutions existent 

Après 70 ans, plus de 95 % des femmes ont un prolapsus génital, le plus souvent bénin.  Cependant, l’âge n’est pas le seul facteur à l’origine de ce trouble. Le terrain génétique, l’obésité ou encore l’accouchement favorisent également le relâchement du plancher pelvien. Si la chirurgie est, dans certains cas, nécessaire, d’autres solutions existent pour prévenir ou soigner la descente de la vessie, de l’utérus ou du rectum. 

Le bruxisme, fréquent mais pas anodin 

Grincement ou serrage des dents involontaire, le bruxisme est un phénomène courant pour lequel des traitements efficaces existent. Pour autant, il n’est pas anodin. Non traité, il peut provoquer des dégâts à long terme. Quant à sa prise en charge, elle doit prendre en compte la composante émotionnelle de ce trouble, qui joue un rôle déterminant dans son maintien.