Практическая информация
Контактная информация нейрохирургов
- Проф.
Horaire du secrétariat : 8-17h, du lundi au vendredi
Unité de gériatrie et de soins palliatifs communautaires
Adresse : Chemin du Petit-Bel-Air 2, 1225 Chêne-Bourg
Tel : 022 305 58 20
E-mail : communautaires.soinspalliatifs@hcuge.ch
Un médecin établit un certificat après le décès. Le personnel infirmier procède à la toilette du défunt avant que le service de pompes funèbres, que vous aurez choisi, recueille le corps. Le médecin peut demander une autopsie. Si les circonstances le permettent, il est souhaitable d’en avoir parlé avant le décès. Ce type d’examen est utile si la cause du décès ou l’origine de la maladie sont incertaines. Les résultats de l’autopsie peuvent avoir une importance significative pour la famille.
Dans les dernières heures de vie, l’administration de médicaments par la bouche doit être stoppée et remplacée par des traitements sous-cutanés. L’équipe soignante reste attentive aux symptômes du patient.
Des gestes simples aident la personne mourante. La toucher, l’embrasser, lui parler doucement, mettre la musique qu’elle aime constituent autant de façons de la réconforter et de la sécuriser. Les proches peuvent s’organiser pour passer plus de temps avec elle durant les derniers jours.
Selon les témoignages de patients lucides atteints d’un cancer ou d’une maladie neurologique dégénérative, aux derniers jours de vie, la sensation de faim et de soif ne dure pas longtemps. D’ailleurs, la plupart des patients refusent en partie ou toute la nourriture qu’on leur offre. La sensation de soif, quant à elle, est due surtout à la sécheresse de la bouche. Il existe des produits efficaces pour combattre la sécheresse des lèvres, de la bouche et de la gorge.
Les difficultés respiratoires sont fréquentes en fin de vie. Elles ont plusieurs causes : infection des poumons, insuffisance cardiaque, aspiration d’aliments dans les bronches, etc. Lorsqu’une personne développe des problèmes respiratoires à la suite d’une aspiration de nourriture ou de salive, il faut d’abord désencombrer l’arrière-gorge et les bronches.
Dans les situations de fin de vie, le dilemme est le suivant : préserver la vie par un traitement curatif ou assurer une fin confortable par des soins palliatifs. Avant de prendre une décision, il faut répondre aux questions qui découlent des mesures de protection de l’adulte figurant, depuis janvier 2013, dans le code civil suisse (CC). En particulier : la personne est-elle capable de discernement ? Si oui, son avis sera déterminant.
Ce site s’adresse aux proches de patients arrivés à un stade terminal de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre affection neurodégénérative du cerveau, comme la maladie de Parkinson, des séquelles d’accident vasculaire cérébral, certaines formes de sclérose en plaques, etc.