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coronavirus
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Une collaboration suisse a été désignée membre du réseau CoViNet de l’OMS pour la détection et la surveillance des coronavirus.
Une étude menée par les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) et l’Université de Genève (UNIGE) auprès de 3’121 personnes révèle que, au moment du déclin de la pandémie de Covid-19 entre le 1er juin et le 2 juillet 2021, 67% de la population genevoise a développé des anticorps contre le virus.
Chez la moitié d’entre eux, la présence d’anticorps fait suite à une infection naturelle. Pour l’autre moitié, elle fait suite à la vaccination.
Le canton de Genève lance sa campagne de vaccination lundi 28 décembre prochain. La vaccination est actuellement la seule mesure réellement efficace contre le COVID-19 et ses complications graves. Selon la stratégie définie par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), les personnes vulnérables sont prioritaires afin de les protéger contre les formes graves de la maladie.
C’est une histoire qui finit bien : Rui Dos Santos, 59 ans, est de retour à Genève après avoir passé plusieurs semaines à l’Hôpital universitaire de Zurich. Il avait été le premier patient atteint du Covid-19 à y être héliporté suite à une hospitalisation aux soins intensifs des HUG.
Questions fréquentes sur la vaccination contre le Covid-19
L’objectif premier d’une vaccination contre le COVID-19 est de protéger toute la population et particulièrement les personnes vulnérables afin de réduire les cas graves et les décès. Le deuxième but est de réduire la charge pesant sur les hôpitaux et les établissements médico-sociaux pour maintenir le bon fonctionnement du système de santé.
Post-COVID
Consultation Long Covid
Le coronavirus SARS-CoV-2, responsable de la maladie Covid-19, peut entraîner des symptômes jusqu’à 6 semaines après le diagnostic, selon une étude conduite aux HUG. Le terme «COVID long» décrit la maladie chez les personnes qui, plusieurs semaines après l’infection, ont encore des symptômes (perte du goût ou de l’odorat, toux, fatigue, maux de tête, essoufflement).
Soutenir les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) jusqu’au 31 mars 2021 au minimum : c’est l’engagement pris par la protection civile, le Service d’incendie et de secours et l’armée pour assurer certaines missions et permettre au système de santé genevois de faire face à la situation épidémique.
Désinfection des ambulances, accueil aux urgences adultes et travail en binôme avec les physiothérapeutes sont les trois tâches assurées par les quelque 300 volontaires intervenant depuis la fin octobre.
Libérer du temps pour les soignants
Les HUG, en collaboration avec le Centre interprofessionnel de simulation, enseignent la technique du frottis nasopharyngé et la réalisation des tests antigéniques à des formateurs et à des non professionnels de santé, chargés de réaliser le dépistage en ville. Cette formation a lieu dans le cadre de la mise en place de ces tests pour détecter le nouveau coronavirus dans le canton. Objectif : freiner l’épidémie grâce à un dépistage massif.
Pour répondre aux besoins psychologiques de la population en cette période de pandémie et de confinement, les HUG adaptent leurs prestations. Leurs équipes spécialisées proposent un soutien aux patient.es hospitalisé.es, à leurs proches, aux parents et aux adolescents. Via trois hotlines gratuites auxquelles s'ajoute la ligne verte créée par l'Etat de Genève, elles offrent également une écoute et un suivi si besoin.