Vidéos - Réadaptation cardiaque durant le Covid
La réadaptation cardiaque est-elle assurée durant cette 2ème vague ?
L’épidémie de Covid-19 aux HUG
Le premier patient Covid+ a été hospitalisé aux HUG le 27 février 2020. Depuis cette date, les HUG se sont organisés pour résister aux deux vagues successives de l’épidémie. Les indicateurs ci-dessous permettent de mieux comprendre l’ampleur de l’épidémie à laquelle les équipes des HUG ont dû faire face.
L’Unité d’épidémiologie populationnelle (UEP), en collaboration avec l'Université de Genève, a mis en ligne la plateforme sécurisée Specchio-COVID19.
Cette plateforme permet, via des questionnaires en ligne réguliers, un suivi sur le long terme des participants aux différentes enquêtes de séroprévalence (SEROCoV-POP, SEROCoV-WORK+, Corona Immunitas Genève notamment).
Specchio-COVID19 a été créée dans un but de recherche avec deux objectifs principaux :
En lien avec les HUG et les partenaires du réseau de soins, imad accompagne à domicile les personnes malades du COVID-19 après leur hospitalisation. Ce dispositif baptisé Covimad est coordonné par les infirmières spécialisées de imad. Il assure le lien entre les équipes médico-soignantes des HUG mobilisées autour de chaque patient et le médecin traitant, en collaboration avec les autres professionnels de santé impliqués. Il coordonne ensuite à domicile les soins nécessaires jusqu’au rétablissement de la personne.
Soutenir les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) jusqu’au 31 mars 2021 au minimum : c’est l’engagement pris par la protection civile, le Service d’incendie et de secours et l’armée pour assurer certaines missions et permettre au système de santé genevois de faire face à la situation épidémique.
Désinfection des ambulances, accueil aux urgences adultes et travail en binôme avec les physiothérapeutes sont les trois tâches assurées par les quelque 300 volontaires intervenant depuis la fin octobre.
Libérer du temps pour les soignants
Les HUG, en collaboration avec le Centre interprofessionnel de simulation, enseignent la technique du frottis nasopharyngé et la réalisation des tests antigéniques à des formateurs et à des non professionnels de santé, chargés de réaliser le dépistage en ville. Cette formation a lieu dans le cadre de la mise en place de ces tests pour détecter le nouveau coronavirus dans le canton. Objectif : freiner l’épidémie grâce à un dépistage massif.