Le fait d’avoir « mal à sa vie » pendant l’adolescence est normal, mais ne doit pas être négligé. Pour répondre au mieux à la souffrance exprimée par les jeunes, MALATAVIE unité de crise est présente.
L’unité est destinée aux jeunes de 12 à 25 ans qui ont des idées suicidaires ou ressentent un mal-être. Elle a vu le jour grâce à un partenariat avec la fondation Children Action.
Ce débat ouvre une réflexion sur les nouvelles technologies et leur influence dans la construction de nos identités.
Il s'agit du 4ème et dernier débat du cycle Vis-à-vie sur la prévention du suicide des jeunes organisé par la Fondation Children Action et MALATAVIE unité de crise.
Quand ?
Mardi 14 mai 2019 de 18h à 20h30
Où ?
Created 20 years ago, after an unprecedented collaboration between the HUG and the foundation Children Action, our suicide prevention and treatment initiative is now called Malatavie. The new name is intended to increase the visibility of this crisis unit and make it easier for young people and those around them to remember.
Créé il y a 20 ans d’une collaboration inédite entre les HUG et la Fondation Children Action, le dispositif de prévention et de traitement du suicide s’intitule désormais Malatavie. Ce nouveau nom vise à accroître la visibilité de cette unité de crise et à faciliter sa mémorisation par les jeunes et leur entourage.
(Rediffusion de l'émission de septembre 2012)
ACTUALITE : Parler du suicide
REPORTAGE : Stérilisation centrale, l’étape sécurité
INVITE : Comment allez-vous M. Rousseau ?
DOSSIER CENTRE DU SEIN : Tous les spécialistes et les équipements en un seul lieu
JUNIOR : Pourquoi a-t-il peur d’aller à l’école ?
VECU : « Comme un bébé »
Pulsations TV Septembre 2012 - Période de multiples bouleversements, l’adolescence peut entraîner un grand mal-être. La jeune Angelina en apporte dans ce reportage un témoignage aussi sincère que révélateur. Comme elle, 15 à 20% des jeunes auront besoin de l’aide de professionnels pour surmonter ce moment difficile. Aux HUG, l’Unité Santé Jeunes accueille ces ados dès l’âge de 12 ans. D’autres structures plus spécialisées leur viennent en aide lorsque le spleen l’emporte sur la joie de vivre, au point de songer à mourir.
